
Ecrivain japonais …

Ecrivain japonais …

« Tous les bateaux-usine étaient délabrés. Pour un patron dans son bureau de Tôkyô, qu’est-ce que la mort de quelques travailleurs en mer d’Okhotsk? Quand le capitalisme ne peut plus se satisfaire des seuls revenus ordinaires, pour peu que les taux d’intérêt baissent et que les liquidités affluent, il se lance dans une folle course en avant. » (P. 36)

« Quatre mois de grève sordide pour obtenir de patrons, richissimes comme toi, une misérable augmentation. Quatre mois d’insultes et de mépris. Quatre mois de violences. Quatre mois de haines, d’humiliations, de morts…«