« La confiance d’une Nation envers sa Police doit être totale et l’engagement de la Police pour la protection de ses concitoyens et la sécurité intérieure, un devoir, en toutes circonstances. » (P. 211)
Archives de Catégorie: Livres en français
Hommes des tempêtes – Frédéric Brunnquell
« Une énorme tache rouge bordée de jaune occupe tout l’écran . Il a détecté une gigantesque masse de poissons. Le banc qu’Alain vient de trouver mesure cinq kilomètres de long, trois cents mètres de haut et plus de cinq cents de large. A l’échelle de la terre, c’est un monstre haut comme la tour Eiffel, large comme le Champ-de-Mars et qui irait de la place du Trocadéro à la Porte de Versailles. » (P. 170)
Arrigo Lessana
Auteur passionné d’alpinisme
Ancien chirurgien cardiaque
« Triste Tigre » – Neige Sinno
« De la même manière, je m’expose, avec ce livre qui ne peut pas aller bien au-delà de mon questionnement personnel, de ma biographie, à ce que ceux et celles qui lirent le livre y puisent des particules qu’ils utiliseront hors du contexte de départ. Mes propos seront interprétés, déformés, délirés. Il se combineront avec d’autres idées. C’est la seule façon qu’a la pensée de se reproduire vraiment, pas par rizome ni racine mais par une pollinisation aléatoire. » (P. 212)
Lire la suiteLe mot en A – Une histoire mondiale de l’avortement – Elisabeth Casillas & Higinia Garay
« Le débat ne devrait pas porter sur la possibilité qu’elles avortent ou non, mais sur les causes de cette situation, les manières de l’éviter. » (P. 115)
« La ville des ânes » – Pierre Berville
« Il y a plus de distance entre Gennevilliers et Neuilly qu’entre le pôle Nord et le pôle Sud » (P. 200)
« Mon petit » – Nadège Erika
« J’écris pour emballer mes tourments dans un corps de papier et mettre des mots sur une histoire qui en a manqué. » (P. 13)
« Les artistes » – Aden Ellias
-« Devenir artistes, pour Anna et Virgil, avait signifié entrer dans un état de mutation généralisant celui de l’adolescence. » (P. 25) »
« Ubasute » – Isabel Gutierrez
« Il faut que tu fabriques une chaise en bois léger que tu pourras mettre sur ton dos, tu vois ce que je veux dire, un sac à dos pour ta mère, c’est assez drôle, non, comme idée […] tu me déposeras là où nous avons convenu et tu repartiras sans te retourner, en aucun cas.« (P. 20)
« Des hommes » – Laurent Mauvignier
« ….on ne sait pas ce que c’est qu’une histoire tant qu’on n’a pas soulevé celles qui sont dessous et qui sont les seules à compter, comme les fantômes, nos fantômes qui s’accumulent et forment les pierres d’une drôle de maison dans laquelle on s’enferme tout seul, chacun dans sa maison, et quelles fenêtres, combien de fenêtres? » (P. 272)