« Mais là, ça vient, je crois, de la manière dont la musique fonctionne chez le personnage principal. Quand il entend de la musique, il voit des choses ; et, inversement, il entend de la musique quand il est en présence de certaines scènes… C’est très frappant » (P. 88)
« Un proverbe affirme que les seuls amis des kurdes sont leurs montagnes. » (P. 50)
« …..un pays qui avait fait dire à l’historien Henry Laurens : « Si vous avez compris quelque chose au Liban, c’est qu’on vous l’a mal expliqué ! » » (P. 135)
« Une pierre conduit à une balle. Et un autre kamikaze conduit à une autre frappe aérienne. Et ça n’arrête pas. Jamais. »
4 négatifs pour décrire quatre guerres contemporaines…
Il faisait très chaud à Zagreb cette année là, et il était impossible d’aller se rafraîchir à la mer… des hommes armés de tronçonneuses, des Serbes avaient barré les routes en abattant les arbres qui les bordaient… Il faut pourtant se déplacer, pas pour des loisirs, non, simplement par se rendre chez un médecin spécialiste qui doit examiner Rehala la petite sœur âgée de quelques mois d’Ana Jurić, la narratrice. Rehala qui souffre d’une insuffisance rénale ne peut être soignée qu’aux Etats-Unis, par l’ONG MediMission. Là bas une famille d’accueil la prendra en charge, le temps des soins.Ses parents prennent la route du retour…une route barrée par l’un de ces sinistres barrages. 
J’aimerais sincèrement que cette chronique permette de faire connaître ce livre, dont le titre « jeu de mots » m’avait intrigué et dont la lecture m’a procuré de nombreuses d’émotions. 
Ils ont passé une nuit ensemble, une nuit dont ils se souviennent…Elle lui a donné une statue antique.
La position fortifiée avancée tenue par des américains en Afghanistan a été attaquée. La tension qui suit cette dernière attaque n’est pas retombée. Une femme en burqa assise sur un chariot qu’elle pousse avec les mains s’approche…
Mes belles lectures 