
Auteure née à Téhéran en avril 1977,
Auteure née à Téhéran en avril 1977,
« L’amour et la haine sont un voile devant les yeux : l’une ne laisse voir que le bien, l’autre que le mal. »
« Parce que la vie, c’était ça. Un serpent qui se mordait la queue. » (P. 15)
« Les petites filles n’ont jamais eu beaucoup d’avenir dans une société qui n’accorde d’importance qu’aux garçons. »
Auteure d’origine marocaine..
Auteure et anthropologue afro-américaine….
« Tu feras ce que ton père et tes oncles te diront. »
Militante féministe et auteure camerounaise d’expression française….
Cette année se termine, elle avait si bien commencé !…
…tant de rêves, tant de projets peuplaient nos têtes….patatras… un petit machin a tout foutu en l’air, un petit machin a tout cassé, a brisé tous nos projets, nos vies, nos rêves de voyage, nos libertés.
Oui nous rêvions et nous avons du faire le deuil de nos projets, et pour certains de nos amis, ou de membres de notre famille…
Et pourtant, d’habitude quand nous rêvions nous parvenions souvent à mettre ces rêves en musique, à les vivre, a concrétiser nos projets..en totalité ou en partie.
Cruelle déception !
Nous ne sommes pas les seuls à rêver…depuis des lustres, des femmes rêvent d’une autre vie, d’une indépendance qu’elle n’auront jamais. Elles vivent sous des cieux qui ne les ont pas vu naître parce qu’elles suivent leur mari, dans des grandes villes ou dans des villages loin du monde qu’elles ne quitteront jamais.
Là, elles passeront leur vie, à rêver d’une autre monde, d’une autre vie.
Elles veulent être actrices de leur vie, de leur rêves…mais c’est un rôle qui leur est souvent interdit.
13 nouvelles, de quelques pages, pour nous offrir 13 émotions, treize vies.
2020, année pourrie pour nous, se répète depuis bien des années sous d’autres cieux pour certaines de ces femmes. Et pour longtemps sans doute !
Pensons-y !
Éditeur : Actes Sud – 2000 – 218 pages – traduction par Yves Gonzalez-Quijano
Suivre le lien vers la présentation de Hanan EL-Cheickh
Quelques lignes
« La vie et la mort sont pareilles qu’une antenne parabolique, il faut savoir les orienter dans le bon sens si on veut éviter les parasites. » (P. 148)