
« L’Europe était comme la lumière d’une étoile brillant encore longtemps après la mort de l’étoile elle-même. » (P. 106)
« L’Europe était comme la lumière d’une étoile brillant encore longtemps après la mort de l’étoile elle-même. » (P. 106)
« Le temps s’est figé ici, tous sont allés vers leur vie, je suis resté à la mienne, ici à quai, spectateur de ces destinées multiples, témoin de ces heures ou de ces jours de passage qui ont défintivement changé le visage de leur existence. » (P. 22)
« C’est en écrivant qu’elle trouve un espace habitable. En concevant un univers et en le faisant advenir sur la page. Le chant est sa parole véritable. L’écriture sa planche de salut. Le chant est sa parole véritable. L’écriture sa planche de salut. » (P. 139)
« Si j’ai pu le faire, n’importe qui peut le faire. »….dernière phrase du livre..
« Un proverbe affirme que les seuls amis des kurdes sont leurs montagnes. » (P. 50)
« Il veut en finir avec la pompe et ce luxe de chien »
La vie d’une jeune gamin, l’auteur, dans les années 50-60….
« Il m’aura fallu des années pour l’apprendre et une vie entière pour en comprendre le sens : pendant la guerre, mon père avait été du « mauvais côté ». » (P. 31)
« Il a fallu bâtir trente deux ponts, faire sauter des pans de montagne et s’abîmer dans l’océan des dizaines de machines, aplanir des collines, creuser défilés et tunnels pour mettre ce point final à la conquête de l’Ouest. » (P. 313)
« On écrase la moindre résistance et on reprend la ville au plus vite; snipers, en place ! pas de pitié! Pas de clémence ! Compris?! »