Une couverture pleine de mystères : des touches de piano, des cartes, des dés, un papillon et du café. Une incitation au rêve, à la détente, à la poésie, surtout quand on a beaucoup aimé « Neige » qui m’avait permis de découvrir Maxence Fermine.
Alors quand la belle jeune femme du vide-grenier m’a dit « 50 centimes », je lui ai donné un €uro… »Gardez tout, merci »…et le livre a commencé un nouveau voyage dans mes mains.
J’étais le premier à voyager avec ce livre, jamais ouvert, jamais cassé, le parfum du papier neuf…
Elle ne saura peut être jamais ce qu’elle a perdu en gagnant 1 €
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