
« Personne ne ferme à clef à Beyrouth. La ville est sûre. Mis à part les explosions de voitures, les incendies, les manifestations qui bloquent les routes pendant des jours. Mis à part le fait qu’on n’y est jamais vraiment en sécurité. » (P. 105)
« Personne ne ferme à clef à Beyrouth. La ville est sûre. Mis à part les explosions de voitures, les incendies, les manifestations qui bloquent les routes pendant des jours. Mis à part le fait qu’on n’y est jamais vraiment en sécurité. » (P. 105)
« …..un pays qui avait fait dire à l’historien Henry Laurens : « Si vous avez compris quelque chose au Liban, c’est qu’on vous l’a mal expliqué ! » » (P. 135)
Ecrivain, avocat, homme politique et critique littéraire libanais et français
né à Beyrouth en février 1967.
Lire la suiteAuteure libanaise née en novembre 1945
Aaliya Saleh est une vieille dame de 72 ans habitant Beyrouth en guerre, une guerre civile qui connut déjà plus de 50 000 cessez-le-feu ! Une guerre et des dangers qu’elle dut affronter chaque fois qu’elle devait se rendre dans la librairie où elle travaille .
Elle a appris comme tous les beyrouthins à vivre avec cette peur : « Tout Beyrouthin d’un certain âge a appris qu’en sortant de chez lui pour une promenade il n’est jamais certain qu’il rentrera à la maison, non seulement parce que quelque chose peut lui arriver personnellement mais parce qu’il est possible que sa maison ait cessé d’exister..
Lire la suitePeintre et écrivain libano-américain né en 1959 à Amman en Jordanie.
« Ton ami va mourir, il demande à te voir »
Adam, le narrateur va nous faire vivre 16 jours au cours desquels il va essayer de regrouper autour de la veuve de son ancien ami, tout le groupe des « byzantins », groupe d’amis étudiants, arabes, chrétiens, juifs, que les circonstances de la vie, que les guerres du Liban, pays qui n’est jamais cité par l’auteur, ont éloigné les uns des autres depuis plus de 30 ans. Lire la suite