
« ….si tout le monde vivait comme un Français, il faudrait 2,73 planètes. Il en faudrait 2.85 si tout le monde vivait comme un Suisse, 4.97 si tout le monde vivait comme un Américain et 0.64 si tout le monde vivait comme un Éthiopien » (P. 42)
« ….si tout le monde vivait comme un Français, il faudrait 2,73 planètes. Il en faudrait 2.85 si tout le monde vivait comme un Suisse, 4.97 si tout le monde vivait comme un Américain et 0.64 si tout le monde vivait comme un Éthiopien » (P. 42)
Auteure née à Téhéran en avril 1977,
Je combats une série de préjugés qui emprisonnent la femme sous le voile qui n’est que la partie visible de sa prison intérieure.[……] Je ne combats ni des hommes ni des femmes mais des concepts, la tradition malsaine et le violence du préjugé » (P. 33)
« Pourquoi s’était-il mué en une bête traquée, contraJinte à se réfugier dans les bois ? Et avant ça, pourquoi était-il devenu un paysan acculé, condamné à se voir soustraire son troupeau ? » (P. 21)
« L’Europe était comme la lumière d’une étoile brillant encore longtemps après la mort de l’étoile elle-même. » (P. 106)
« Le temps s’est figé ici, tous sont allés vers leur vie, je suis resté à la mienne, ici à quai, spectateur de ces destinées multiples, témoin de ces heures ou de ces jours de passage qui ont défintivement changé le visage de leur existence. » (P. 22)
« Elle broya les os d’un jeune rat dans un mortier, pendant que sa mère crevait les verrues d’un crapaud afin d’en récupérer le venin. » (P. 155)
« Je suis revenue à la fin, pour l’embrasser avant qu’il ne soit trop tard. » (P. 21)
« Mais là, ça vient, je crois, de la manière dont la musique fonctionne chez le personnage principal. Quand il entend de la musique, il voit des choses ; et, inversement, il entend de la musique quand il est en présence de certaines scènes… C’est très frappant » (P. 88)
« Elsa Feuillet admirait Béatrice Blandy. C’était une écrivaine dont elle pouvait relire les romans chaque année, sans jamais se lasser. »