
« Une chose était sûre, Akira éprouvait du plaisir à maltraiter Minoru. On rencontrait toujours ce type d’élèves, quelle que soit l’école. » (P. 39)
« Une chose était sûre, Akira éprouvait du plaisir à maltraiter Minoru. On rencontrait toujours ce type d’élèves, quelle que soit l’école. » (P. 39)
“La littérature n’est pas là que pour faire plaisir mais aussi pour déranger, questionner, émouvoir, remuer.”
« Le cadavre d’un homme avait été découvert dans les décombres d’un toit arraché lors de la tempête, un Nenets visiblement, qui gelait là-haut depuis on ne savait quand. » (P. 37)
« Pour établir leur culpabilité, comme pour le reste, les nègres n’ont nul besoin de posséder une identité. Qu’importe le nom pour une vérité établie. » (P. 17)
Cher Messieurs Emad Jarar, ou Sayed Elyas Mohajer !
« Une pierre conduit à une balle. Et un autre kamikaze conduit à une autre frappe aérienne. Et ça n’arrête pas. Jamais. »
« Quand ils quittent leurs bureaux sans éteindre, l’homme et la femme descendent par le même ascenseur, sans se parler. Ils sortent de l’immeuble en silence et disparaissent sans se reconnaître, chacun de son côté, depuis des années. Et ils trimballent avec eux leur vie dans une bulle pour ne pas se cogner aux autres, comme des fantômes errants. »
30 DOLLARS DE RÉCOMPENSE seront offerts à toute personne qui me livrera, ou confinera dans n’importe quelle geôle de l’État où je pourrai la récupérer, une JEUNE NÉGRESSE avenante, couleur café au lait, âgée de 18 ans, qui s’est enfuie voilà neuf mois. C’est une fille vive et rusée, qui tentera sans nul doute de passer pour une affranchie, marquée au coude d’une cicatrice bien visible occasionnée par une brûlure. J’ai été avisé qu’elle rôde dans la ville d’Edenton et ses environs. BENJ. P. WELLS Murfreesboro, 5 janvier 1812
« Fuir était une folie, ne pas fuir aussi. »
« Je devais sourire en toutes circonstances, mais éviter de rire toutefois, au risque d’endommager mon maquillage et de paraître frivole »