
« Si j’ai pu le faire, n’importe qui peut le faire. »….dernière phrase du livre..
« Si j’ai pu le faire, n’importe qui peut le faire. »….dernière phrase du livre..
La vie d’une jeune gamin, l’auteur, dans les années 50-60….
« ….dans la ville où je suis née, je n’étais qu’une moitié de primate, ou bien un être surnaturel pour les plus niais d’entre eux, pas une personne normale en tout cas. C’est ça mon pays. »
Un livre culte, un classique de la littérature américaine….
« Pour établir leur culpabilité, comme pour le reste, les nègres n’ont nul besoin de posséder une identité. Qu’importe le nom pour une vérité établie. » (P. 17)
« Il était encore difficile pour un Coréen d’obtenir la citoyenneté japonaise, et nombre d’entre eux voyaient même cette démarche comme une honte – devenir le citoyen de l’oppresseur de son peuple. »
30 DOLLARS DE RÉCOMPENSE seront offerts à toute personne qui me livrera, ou confinera dans n’importe quelle geôle de l’État où je pourrai la récupérer, une JEUNE NÉGRESSE avenante, couleur café au lait, âgée de 18 ans, qui s’est enfuie voilà neuf mois. C’est une fille vive et rusée, qui tentera sans nul doute de passer pour une affranchie, marquée au coude d’une cicatrice bien visible occasionnée par une brûlure. J’ai été avisé qu’elle rôde dans la ville d’Edenton et ses environs. BENJ. P. WELLS Murfreesboro, 5 janvier 1812
« Fuir était une folie, ne pas fuir aussi. »
«……quelqu’un – mon oncle, en fait – l’a offert à mon père quand j’étais bébé. J’ai grandi avec, il a toujours été là. »
« ….ce qui se retrouve dans ces pages est le récit d’un voyage personnel, intérieur, la quête d’un garçon à la recherche de son père et, à travers cette quête, le désir de donner un sens utile à sa vie de Noir américain. »