« J’écris pour emballer mes tourments dans un corps de papier et mettre des mots sur une histoire qui en a manqué. » (P. 13)
Archives de Catégorie: Bio – Mémoires
Patti Smith
Patti Smith est une chanteuse et guitariste punk rock américaine née le 30 décembre 1946 à Chicago
Lire la suite« L’année du singe » -Patti Smith
« Et je me suis dit, tandis qu’il tendait la main pour écarter les cheveux devant mes yeux : le problème avec le rêve c’est qu’on finit par se réveiller. » (dernière phrase du livre)
Kobayashi Takiji
Ecrivain japonais …
« Le bateau-usine » – Kobayashi Takiji
« Tous les bateaux-usine étaient délabrés. Pour un patron dans son bureau de Tôkyô, qu’est-ce que la mort de quelques travailleurs en mer d’Okhotsk? Quand le capitalisme ne peut plus se satisfaire des seuls revenus ordinaires, pour peu que les taux d’intérêt baissent et que les liquidités affluent, il se lance dans une folle course en avant. » (P. 36)
« Les pas perdus » – Mustapha Zem
« Au-delà des raisons économiques soutenues par le patronat et des mesures pseudo humanitaires prônées par le gouvernement, la présence des Maghrébins en pleine force de l’âge suscitait des inquiétudes. » (P. 42)
« Mon pauvre lapin » – César Morgiewicz
« Nouveau quartier ou pas, les gens ont donc compris que j’étais un extraterrestre. » (P. 84)
« La Maligredi » – Gioacchino Criaco
« C’est la mer le pire, dans les montagnes on mourrait de faim, mais on était en bonne santé. Moi, sur la plage j’y ai jamais mis les pieds, que maudit soit le jour où on s’est laissés emmener du vieux village. » (P. 307)
« Sanaaq » – Mitiarjuk Nappaaluk
« Continue d’instruire les plus jeunes sur ce qui est dangereux : il faut qu’ils l’apprennent . J’ai bien compris qu’un Inuk doit connaître tout ce qui concerne la nourriture. Même si tu es vieux, tes paroles sont utiles et elles te survivront. » (P. 190)
« Une langue venue d’ailleurs » – Akira Mizubayashi
« Je me considérerai comme mort quand je serai mort en français. Car je n’existerai plus alors en tant que ce que j’ai voulu être, par ma souveraine décision d’épouser la langue française. » (première phrase de la préface du livre)