
« ….si tout le monde vivait comme un Français, il faudrait 2,73 planètes. Il en faudrait 2.85 si tout le monde vivait comme un Suisse, 4.97 si tout le monde vivait comme un Américain et 0.64 si tout le monde vivait comme un Éthiopien » (P. 42)
« ….si tout le monde vivait comme un Français, il faudrait 2,73 planètes. Il en faudrait 2.85 si tout le monde vivait comme un Suisse, 4.97 si tout le monde vivait comme un Américain et 0.64 si tout le monde vivait comme un Éthiopien » (P. 42)
« Le bois, c’est du temps capturé. Une carte. Une mémoire cellulaire. Une archive. » (P. 519)
« La voiture, c’est notre société, notre civilisation thermo-industrielle. Nous sommes embarqués dedans, GPS programmé sur une destination ensoleillée. Aucune pause n’est prévue. Assis confortablement dans l’habitacle , nous oublions la vitesse, nous ignorons les êtres vivants écrasés au passage, l’énergie faramineuse qui est dépensée et la quantité de gaz d’échappement que nous laissons derrière nous. » (P. 39)
« Selon certains prospectivistes, les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ne connaîtrons rien moins que 17 métiers » (P. 62)
« Cela avait-il un sens pour nous de continuer. ? » (P. 256)
« Le lendemain matin, le soleil se leva encore plus chaud que la veille. Depuis plus de deux mois, Paris n’avait pas reçu une goutte de pluie. L’après-midi, une telle chaleur montait du sol que les Parisiens évitaient de sortir, sauf s’ils s’y trouvaient obligés. La capitale vivait derrière ses volets. » (P. 46)
« ...ce monde n’est plus qu’un marché, une immense foire, et il faut l’amuser avec des farces de bateleur. » (P. 78)
« Très peu d’hommes en ce bas monde ont été assez chanceux pour connaître des années durant la solitude du cachot assortie de la camisole de force. Là fut ma bonne fortune. » (P. 267)
« Le virus épargne la vie de la personne ou de l’animal infecté, mais ses effets sont plus dévastateurs qu’une bombe. »
« Les oiseaux aussi se faisaient rares souffrant de la pénurie d’insectes, mourant de faim, comme tout le monde. »