
« Le bois, c’est du temps capturé. Une carte. Une mémoire cellulaire. Une archive. » (P. 519)
« Le bois, c’est du temps capturé. Une carte. Une mémoire cellulaire. Une archive. » (P. 519)
« Nous y voilà, nous y sommes.
Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l’incurie de l’humanité, nous y sommes. Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu’elle lui fait mal.
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