
« Dommage qu’on n’ait pas un bouton «Reset» dans le cerveau. Les électrochocs, peut-être. » (P. 359)
« Dommage qu’on n’ait pas un bouton «Reset» dans le cerveau. Les électrochocs, peut-être. » (P. 359)
Quand on est fille de notaire parisien, en 1885….
Quelques mots échangés avec Didier Daeninckx, sur un salon du livre, quelques mots sur les souvenirs toujours en mémoire de ses livres lus, et puis ce titre qui me saute aux yeux… »une histoire vraie » me dit-il.
Il me donne quelques noms de lieux et d’autres de personnes connus par les plus anciens d’entre nous, des noms de personnes évoquées dans le livre. Il n’en fallait pas plus pour me séduire.
Lire la suiteFrançois-Marie Samson a pris le métro, malheureusement immobilisé à la suite d’une panne de courant due à un orage violent. Il descend à la station Passy dans le XVIème…pour se rentre à un cocktail dinatoire dans un appartement bourgeois….Généalogiste de renom il vient y présenter devant la famille réunie l’arbre généalogique de la famille, remontant sur plusieurs siècles…Une famille à particule de « sang noble », fierté du père de famille Tanneguy de Chemillé, il travaille au Quai d’Orsay et attend même une décision du Conseil des Ministres qui doit le nommer à un poste d’ambassadeur… Lire la suite
Premier roman d’une jeune auteure, un roman qui ne peut laisser indifférent : On aimera ou on n’aimera pas. Pour ma part j’ai attendu plusieurs jours avant d’écrire cet avis. Un pari osé et jamais tenté (à ma connaissance) dans d’autres romans : décrire la vie de ceux qui n’ont pas été déportés en Allemagne et qui, jour après jour, ont attendu en vain le retour des leurs, déportés et tués dans les camps de la mort.