
Écrivain allemand (de son vrai nom de Rudolf Ditzen) né en 1893 et décédé en 1947
De 1917 à 1919, il suit plusieurs cures de désintoxication (alcool et drogues) et séjourne aussi à plusieurs reprises en prison.
Lire la suite

Écrivain allemand (de son vrai nom de Rudolf Ditzen) né en 1893 et décédé en 1947
De 1917 à 1919, il suit plusieurs cures de désintoxication (alcool et drogues) et séjourne aussi à plusieurs reprises en prison.
Lire la suite
La crise des années 30 en Allemagne, un couple obligé de se marier car elle attend un enfant, confronté à l’angoisse du chômage, aux petits chefs, puis au chômage, obligé de déménager en prenant des logements toujours plus miteux et toujours plus petits, pour faire face aux charges et aux dettes croissantes, les privations, les
allocations qu’on attend…..
Un coté intemporel et actuel
Une vision également de cette Allemagne sans espoir, sans avenir apparent, une Allemagne dans laquelle on commence à parler des nazis confrontés aux communistes….
Pas très emballant, j’ai moins apprécié que « Seul à Berlin » ou que « le Buveur », eux aussi également sombres Lire la suite
Un immeuble ordinaire d’une rue quelconque de Berlin pendant la guerre sert de cadre de départ à ce roman. Des personnages dont les destinées se croisent : un condensé sur quelques étages de ces allemands, des salauds, des alcooliques, des magouilleurs, une vielle femme juive dont le mari a disparu, des encartés au parti, des gamins des jeunesses hitlériennes, un vieux juge, des ouvriers, des coureurs de jupons, des parents dont les enfants sont des SS….
Une longue spirale infernale…, on se demande ou et commet elle va finir. Hans Fallada va nous emmener…on sent que ça va mal finir mais comment…