
« Il se dit que les humains pourraient apprendre des abeilles. Les abeilles, grâce à leur discipline et leur travail, avaient construit le communisme dans les ruches. Les fourmis, elles, étaient parvenues à un vrai socialisme naturel. N’ayant rien à produire, elles avaient juste appris à maintenir l’ordre et l’égalité. Mais les humains? Il n’y avait chez eux ni ordre ni égalité. Et même leur police se tournait les pouces. Se contentait de faire le pied de grue devant des palissades. » (P. 311)




Igor jeune ukrainien désœuvré d’une trentaine d’année, se lie d’amitié avec Stepan, homme mur, venu proposer ses services de jardinier en échange d’une petite place dans la cabane du jardin familial. L’Ukraine de 2010 sert de cadre au début de ce roman. Troublés par un tatouage illisible sur l’épaule de Stepan, Igor et Stepan vont tout faire pour le déchiffrer. 