« Charly 9 » – Jean Teulé

Charly 9 Pour une fois Jean Teulé ne m’a pas emballé, ne m’a pas emporté. J’avais apprécié ses autres livres « Mangez-le si vous voulez », « Je, François Villon », ‘Les lois de la gravité », » Le magasin des suicides » etc, tous différents; Mais pour celui-ci j’ai moins « accroché », peut-être parce que je sortais d’une excellente lecture

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« Mangez-le si vous voulez » – Jean Teulé

Mangez-le si vous voulez16 août 1870, quelques jours avant la défaite de Sedan, un jeune homme du village, issu d’une famille connue, est sauvagement assassiné par tout un village, par ses amis, après 2 heures de supplices horribles. Les agresseurs seront soit guillotinés, soit condamnés au bagne, soit emprisonnés, lors du procès qui se tiendra 6 mois plus tard.
Jean Teulé, écrivain que j’apprécie particulièrement pour son humour et la qualité de sa documentation présente dans ce livre une nouvelle facette de ses compétences. Il a écrit un livre horrible, dérangeant, dont on a parfois envie de tourner les pages très vite, tant l’horreur est décrite avec force détails.

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« Les lois de la gravité » – Jean Teulé

Les lois de la gravitéTête-à-tête entre une femme rongée par le remord, qui a tué son mari et qui vient se livrer à la police dix ans après et un policier désireux de la laisser libre.

Celui-ci va tout faire pour ne pas avoir à l’arrêter, et ne souhaite pas revenir sur l’enquête ayant conclu à un suicide. La victime était un mari violent et avait déjà fait plusieurs tentatives de suicide.

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« Le magasin des suicides  » – Jean Teulé


Le magasin des suicides
C
omplément déjanté ! Mais tellement d’humour de la part de Jean Teulé .

Un sujet pas du tout macabre, traité avec humour, sur un ton et une écriture toujours plaisant. Cette famille Tuvache vend tout ce qu’il faut pour se suicider avec efficacité, de la corde pour se pendre, jusqu’au parpaing qu’on s’accroche au pied avant de sauter d’un pont, en passant par la balle de pistolet qu’on vend à l’unité, le sabre et le kimono pour se faire harakiri….
Elle vend tout avec une grande tristesse. L’anniversaire de la fille montrant l’état d’esprit de la famille est épique. Lire la suite

« Je, François Villon  » – Jean Teulé

30 mai 1431, Jeanne la Pucelle vient d’être brûlée par les anglais qui occupent encore Paris, François Villon voit le jour, alors que son père, qu’il ne connaîtra pas, vient d’être pendu pour le vol d’une chemise. À 6 ans le gamin est confié à un

Woodcut Les pendus

Woodcut Les pendus

chanoine par sa mère qui doit être suppliciée pour un vol qu’elle n’a pas commis.

 

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