
Une douleur vive en partie du fait de ce décès, mais aussi parce que en respect de la tradition africaine, elle est dépouillée de ses biens, de la maison familiale, quelques jours après le décès par la belle famille de son mari…un mari qui l’avait abandonné pour épouser une gamine amie de lycée de sa propre fille…
Douleurs joies et peines diverses ponctuent ces courriers. Plus tard des prétendants lui proposeront le mariage.