
Surtout quand on découvre sur la 4 ème de couverture qu’il ne s’agit pas d’un roman, mais d’une enquête d’une journaliste américaine.
Double voyage donc dans le monde du livre et dans le monde de cette Amérique, dans ce monde un peu (beaucoup) fou des Américains…Pas les américains lecteurs, comme vous et moi, non les américains collectionneurs, investisseurs, fascinés par une vieille couverture, par une édition limitée, par un autographe, fascinés par la possession, la collection, les dollars.
Qu’importe le texte du livre !