« Vingt-quatre heures de la vie d’une femme » – Stefan Zweig

Vingt-quatre heures de la vie d'une femmeEvénement dans une pension de famille de la Riviera au début du XXème siècle : une jeune résidente est partie avec un homme, violant ainsi toutes les règles de bonne conduite et de bienséance imposées par la morale! Tout le monde en parle et s’en offusque.

Une vieille dame, veuve depuis longtemps, raconte au jeune narrateur une aventure qui lui est arrivée quarante ans auparavant.

Elle aussi a, un jour, connu involontaire une passion dévorante qui a marqué sa vie de veuve, en violation des règles de bonne conduite et l’austérité du moment. Une passion dont elle se souvient encore, une passion avec un jeune homme passionné par le jeu, au point de vouloir y perdre sa vie…

Une passion courte, d’une journée racontée avec pudeur et sensibilité, sans voyeurisme… Zweig qui n’a pas son pareil pour décrire les sentiments, les passions. Une femme troublée non pas par un regard, par une conversation, mais par des mains, les mains du joueur jetant les jetons, ramassant ses mises….. un petit chef d’œuvre.

Deux passions qui se rencontrent

On est bien loin des romans contemporains, mais quel bonheur


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