
« Très peu d’hommes en ce bas monde ont été assez chanceux pour connaître des années durant la solitude du cachot assortie de la camisole de force. Là fut ma bonne fortune. » (P. 267)

« Très peu d’hommes en ce bas monde ont été assez chanceux pour connaître des années durant la solitude du cachot assortie de la camisole de force. Là fut ma bonne fortune. » (P. 267)

Chercheurs d’or littéraire, ne creusez plus, vous avez là une pépite méconnue de London.
Martin est un marin d’une vingtaine d’année, qui ne connait du monde que les bateaux, les bars à marins dans lesquels les bagarres éclatent quand on a affaire avec quelques susceptibilités… Alors les couteaux sortent des poches…Martin Eden est l’un de ces marins balafré au cou à la suite d’une bagarre avec un mexicain… Il a sauvé un jeune homme de bonne famille, qui l’invite chez lui.
Quand on parle de Jack London, immédiatement viennent à l’esprit des titres comme « Croc-Blanc », « L’appel de la forêt », « Le Loup des mers » ….rares sont ceux qui penseraient au livre « Le peuple d’en bas »…et pourtant, ce titre assez difficile à trouver en librairie sauf sur commande, mérite qu’on s’y penche. Merci à Recyclivres. 
Auteur américain de romans et nouvelles d’aventures, de récits autobiographiques…