
Mais il est surtout capable de vous faire ressentir une forme de douleur permanente qu’il a dans le cœur, une nostalgie de l’enfant d’émigré, un amour de son pays d’origine, la haine toujours vive envers ceux qui ont causé le départ de ses parents.
Un scénario simple, apparemment, pour « La lumière et l’oubli »: deux jeunes filles de 18 et 14 ans, Julia et Esther, arrivent dans une gare à tromper la vigilance des soldats franquistes chargés de les surveiller lors d’un transfert entre deux orphelinats, et à rejoindre la France grace au hasard de leurs rencontres.