
« On est encore à cette époque où l’homme finit de se rendre maître et possesseur de la nature. Où la nature n’est pas encore une vieillarde fragile qu’il faut protéger, mais un redoutable ennemi qu’il faut vaincre. » (P. 94)

« On est encore à cette époque où l’homme finit de se rendre maître et possesseur de la nature. Où la nature n’est pas encore une vieillarde fragile qu’il faut protéger, mais un redoutable ennemi qu’il faut vaincre. » (P. 94)

« On ne te demande pas de faire des petits génies, seulement des normaux. Une fois encore, tu n’as pas voulu faire comme les autres, tu as gagné, et nous on a perdu. »

Il y a bien des années que je souhaitais approcher Marguerite Yourcenar, la rencontrer dans un de ses titres.

Déconcertant, presque ennuyeux parfois, mais recelant de petites pépites de bonheur…
Presque 100 ans et toujours d’actualité…
« ….ce matin-là comme les autres, l’humour, l’apostrophe et une forme théâtrale d’indignation étaient les juges et les éclaireurs, les bons et les mauvais génies, dans une tradition bien française qui valait ce qu’elle valait, mais dont la suite allait montrer que l’essentiel du monde lui était étranger.. » (P. 51)
Philippe Jaenada me fait penser par son physique et son comportement à un patou (Montagne des Pyrénées)…. vous savez, ces chiens de bergers débonnaires et câlins, patients et courageux, rongeant méticuleusement leurs os, et terriblement efficaces pour lutter contre les loups et protéger les brebis. J’espère qu’il ne m’en voudra pas
Un garçon de quatorze ans porte sa mère mourante sur le dos. Ensemble ils se retrouvent au bord de la mer que la mère peut admirer une dernière fois avant de fermer les yeux…..Ce n’était pas la mer…