
Auteur qui termine actuellement (mars 2023) une thèse de doctorat sur l’analyse des récits d’effondrement à la lumière de la philosophie de l’histoire.

Auteur qui termine actuellement (mars 2023) une thèse de doctorat sur l’analyse des récits d’effondrement à la lumière de la philosophie de l’histoire.

Cher Messieurs Emad Jarar, ou Sayed Elyas Mohajer !

« La mort est le problème de ceux qui restent. » (P. 90)

Vie quotidienne des habitants d’Oran, ville touchée par un mal un temps mystérieux

« Comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie » quelques mots qui complètent le titre de l’ouvrage…pour préciser le mot « Effondrement »

Deux communautés principales, l’une musulmane et l’autre non musulmane s’ignorent superbement, échangent peu et se regardent même souvent en chiens de faïence surtout depuis les attentats de janvier 2015 à Paris, surtout quand « des événements » agitent les banlieues.
On traiterait de fou et d’inconscient celui qui affirmerait que notre monde tourne rond, sans heurt, sans tension ! Il suffit de considérer notre actualité, les manifestations qui depuis près de 3 mois font la une des journaux télévisés, la violence, l’incivisme, la contestation des institutions…de considérer aussi que dorénavant, il est plus facile de « se parler » au travers de nos écrans par l’intermédiaire des réseaux sociaux….Mais est-ce se parler quand on s’invective, quand on propage des fausses nouvelles et quand on ne se rencontre pas, quand on n’échange pas sur des points de vue différents?
Michel Cousin, est un « vieux garçon » de trente-sept ans. Il travaille en qualité d’employé isolé dans le bureau dans un institut de statistiques, et n’a d’yeux que pour Melle Dreyfus, une de ses collègues de travail..Ah qu’est-ce qu’il est heureux, le jour où il arrive à prendre l’ascenseur en sa compagnie. La sentir près de lui, même s’il ne lui parle pas ! Quelle belle journée ! Un travail follement passionnant sans aucun doute : « je suis dans les statistiques et il n’y a rien de plus mauvais pour la solitude. »