
Diable…Quel courage !

Diable…Quel courage !

« Après tout, ce n’était qu’un góor-jigéen »…..

« Un bon dessin de presse, c’est un coup de poing dans la gueule »

« De treize à vingt-trois ans, j’ai été réprimée, condamnée à être une musulmane, une soumise, et emprisonnée sous le noir du voile. De treize à vingt-trois ans. Et je ne laisserai personne dire que ce furent les plus belles années de ma vie. »
Il n’est pas écrivain, mais marchand de tapis, comme son grand-père l’était….de tapis Afghans bien sûr …
Il n’est pas romancier, ce livre n’est pas sorti de son imagination, mais de sa vie….
Il n’en est que plus terrible!J’y suis entré sur les conseils d’un ami lecteur, jardinier, grand voyageur, etc…Merci, tu te reconnaîtras…
Tu m’as offert un voyage magnifique, un éclairage terrifiant sur cet Afghanistan sous le joug de ces factions hostiles entre elles, qui s’appelèrent « soldats de Dieu », »moudjahidin », « fous de Dieu », « talibans », Dieu mis à toutes las sauces selon les époques ….de ces fanatiques religieux, de ces ignares voulant détruire ce passé, cette culture et cette civilisation au nom de leur idéologie, de leur folie…tu m’as aussi offert un voyage sur l’âme afghane, sur l’honneur afghan, sur l’hospitalité de ses habitants. Lire la suite
Essai, biographie romancée…. »Une nuit à Aden » (Tome I) est un peu de tout, difficile à définir, unique et bigrement captivant, bigrement intéressant pour celui ou celle qui s’intéresse aux soubresauts pouvant aller jusqu’aux tempêtes de notre monde, de notre actualité.
Ah ! Si j’étais un fondamentaliste religieux convaincu, qu’est-ce que j’aimerais clouer au pilori ce mécréant de Khaled Hosseini qui met deux femmes afghanes à l’honneur ! Mais je ne suis qu’un vieux lecteur aimant les femmes, adorateur de leurs beautés (physique et morale), adorateur de la liberté, adorateur des droits de l’Homme et donc de celui des femmes, et pas uniquement des droits de l’homme….alors je vais dire tout le bonheur que j’ai eu avec cette lecture de « Mille soleils splendides ».
Toute la population d’une petite ville allemande attend l’arrivée d’un train, un train qui n’arrive pas. On ne sait pas où il est est…« Chaque jour on nous dit que le train va arriver et chaque jour on nous dit que finalement il ne viendra pas ».
Ils sont cinq, quatre plus le chauffeur. Entassés dans la voiture, ils ne se connaissent pas, ils se taisent…tous concentrés sur l’objectif de leur mission au Stade de France, ce soir du 13 novembre 2015….
« ….ce matin-là comme les autres, l’humour, l’apostrophe et une forme théâtrale d’indignation étaient les juges et les éclaireurs, les bons et les mauvais génies, dans une tradition bien française qui valait ce qu’elle valait, mais dont la suite allait montrer que l’essentiel du monde lui était étranger.. » (P. 51)